Livia - Sans Limite /

Signé Dick Chezey

 Érotique / Libertinage

J'ai l'immense bonheur de vous présenter un auteur Européen de talent. Il nous ouvre la porte de son imaginaire inspiré par sa vie libertine. 

Dick Chezey

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Livia, est une jeune et jolie libertine. Initiée très tôt à la pluralité masculine, elle en a fait une règle de vie. Insatiable, elle veut tout connaître, éprouver tous les plaisirs avec tous les mâles qui croisent son chemin. Elle ne dit non à rien ni à personne !

 

Au hasard d’une soirée dans un club, elle rencontre Fabien qu’elle intègre au petit groupe de sex friends qui ont un libre accès permanent à tout ce qu’elle peut offrir. Avec lui, ils vivent un libertinage sans tabou, sans limite : soirées échangistes en club ou entre amis, rencontres d’un instant, gang bangs, glory holes, groupes constitués, orgies, vacances inoubliables au Cap d’Agde

 

Qu’importent les partenaires, pourvu qu’ils soient des amants d’exception, avec une petite préférence pour les énormes bangalas africains.

Poussez la porte de sa chambre... Livia ne cache rien !

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Extrait

Livia - sans limite

 

Roman

 

Dick Chezey

– Hé ! Doudou ! Tu peux venir m’aider une minute s’il te plaît ?

– À quoi faire ?

– Ben, à fermer ma valise !

– Non, mais c’est pas vrai ! On part pour huit petits jours dans une résidence naturiste où on se balade à poil vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et tu n’arrives pas à fermer ta valise ! Je ne comprendrai jamais rien aux femmes !

– Ah, ben… une femme c’est une femme ! Alors, tu viens m’aider ?

– Voilà, j’arrive.

Nous étions sur le départ !

En fin d’année dernière, j’avais réservé une semaine dans un gentil studio à Port Nature, la résidence la plus agréable du Cap d’Agde. Au départ, c’était un séjour prévu avec Sophie. Quand je l’ai proposé à Livia, elle n’a pas fait la fine bouche. On ne peut pas vraiment dire qu’elle a sauté de joie, mais pour une autre raison : c’est difficile de sauter de joie quand on vient de courir un marathon ! Même si les « kilomètres » ont été « avalés » dans un lit : ça fatigue !

Nous avons prévu de partir vers cinq heures, de façon à arriver en fin d’après-midi. Même avec les autoroutes, en espérant ne pas être bloqués par des embouteillages imprévus, près de huit cents kilomètres demandent du temps ! Livia et moi pensons nous relayer au volant, et avons prévu de quoi nous restaurer et nous désaltérer dans la voiture (eau minérale et sodas), afin d’éviter des pertes de temps inutiles.

Donc, ce soir, coucouche panier et gros dodo bien sage !

 

Après une matinée de récupération, car nous étions arrivés un peu plus tard que prévu, nous avons rapidement procédé à notre installation et sommes partis à la découverte de notre environnement immédiat. Nous sommes ensuite allés nous restaurer sobrement au petit restaurant, à l’entrée de la plage.

Maintenant, tout nus, mais pas encore tout bronzés, les pieds dans l’eau, en longeant la plage, nous y allons : à la baie des cochons !

 

                                                    *

                                               *        *

 

 

Sur ses seins offerts, le soleil joue avec les granulations de ses aréoles. La pulpe de mon doigt, comme un aveugle décodant le braille, tente de déchiffrer le message de sensualité qu’elles expriment. À ce petit jeu, pourtant anodin, le téton n’a pas tardé à réagir, à s’éveiller, s’épanouir comme un bourgeon. Il s’est érigé, comme s’il lançait un défi à mes lèvres, et mes lèvres ont succombé 

– Oh ! Ta peau est brûlante ! Gare aux coups de soleil. As-tu bien passé ta crème ?

– Non… j’attendais que tu me proposes de le faire.

– Mais, chère Madame, il suffisait de le demander.         

Je sortis le flacon de crème solaire, à haut indice de protection et m’en  versai  au creux de la paume, j’en pris au bout des doigts, et commençai doucement par en enduire soigneusement le nez de Livia : Sur les plages du centre Hélio Marin, il semble bien que ce soit les femmes qui sont les victimes les plus atteintes par les ardeurs excessives du soleil. Les parties les plus vulnérables de leur corps sont apparemment le nez et les seins. Les belles blondes, les belles rousses à la peau naturellement pâle  et délicate sont celles que spontanément, on a le plus envie de plaindre : certaines ont adapté à leurs lunettes de soleil un petit écran de papier ou de bristol plié qui fait penser non pas  à Pinocchio, car il ne s’allonge pas, mais à une sorte d’ « éteignoir à chandelles » ! Pour les seins de beaucoup de femmes, leur peau, certainement  plus fine que sur tout le reste du corps, atteint parfois un rouge qui suscite la pitié !

Après le nez donc, je répartis la crème entre mes deux mains. Puis à ma plus grande satisfaction, empaumai les deux seins de Livia. Je commençai alors un lent et doux massage qui n’avait plus pour seul objet de protéger sa peau fragile des ardeurs excessives du soleil ! Je massais avec délectation cette chair offerte, consentante et réceptive. Sa fermeté montrait à l’évidence qu’elle  ne restait pas insensible à mes caresses qui prenaient progressivement un caractère bien éloigné du simple prétexte     « cosmétique ».

Livia avait fermé les yeux, immobile, sur le dos, elle se laissait aller, s’abandonnait  à la douceur de l’instant qu’elle vivait. Par moments sa poitrine se soulevait, faisant ressortir encore plus ses tétons gonflés de plaisir !

À regret, je quittai ses seins qui emplissaient encore mes mains, comme s’ils s’y était incrustés. Leur chaleur irradiait encore mes paumes, et mes yeux fascinés ne pouvaient pas s’en détacher.

Je repris un peu de crème et commençai à en caresser le reste de son corps, impatient de ressentir ce bienfaisant massage.

Je commençai par la base du cou, pour rapidement descendre sur le reste de son torse. Ma main glissait sur sa peau brûlante de soleil, mes doigts en frôlaient tous les endroits sensibles.   

Je continuai par son ventre plat, jusqu’à son pubis soigneusement épilé, mais m’interdis d’effleurer son sexe, même subrepticement, même par « inadvertance » ! Ses longues jambes fuselées furent ensuite l’objet de tous mes soins, puis je demandai  à Livia de se retourner afin de protéger son côté « pile » contre tout érythème intempestif. J’enduisis de crème, avec application, et pris un grand plaisir à masser la rondeur parfaite de ses jolies fesses, au pouvoir attractif incontestable sur l’ensemble de la gent masculine. À ce stade, j’avais pris bien soin de ne pas susciter d’émois trop intenses par des attouchements  trop proches de ses sensibilités extrêmes !

Je commençais à atteindre un point d’excitation qui devenait évident et je me rendais compte que je n’étais pas seul à éprouver la plus grande difficulté à garder mon calme.

Je demandai à Livia de se remettre sur le dos, repris un peu de crème, et entrepris de « protéger du soleil » ses parties  les plus sensibles que j’avais pris soin, jusqu’alors, de ne pas mettre en émoi.

Ma main courut sur l’intérieur de ses cuisses, là où la peau des femmes est si fine, si douce, puis mes doigts massèrent le pli de l’aine longuement, remontèrent entre les fesses. L’un des plus coquins s’attarda sur le petit œillet frémissant à ce contact souvent désiré. Enfin ma main secourable vint « soigner » le sexe de Livia qui n’en pouvait plus d’attendre ! Mes doigts couraient tout au long des grandes lèvres dans une caresse parfois furtive, parfois appuyée. Mes doigts finirent par pincer légèrement et distendre les petites lèvres comme pour étirer les pétales de la corolle d’une fleur. Ces petits  tiraillements  eurent pour effet de dévoiler et ouvrir l’entrée de son vagin qui semblait palpiter comme un cœur !

Nos lèvres  se soudèrent, nos langues se mêlèrent. Les yeux fermés, le cœur battant, nous n’étions plus qu’un couple fusionné, noyé dans un océan de plaisir : nous étions seuls au monde

Mes doigts lâchèrent alors leur « proie » pour faire allégeance à Monseigneur le clitoris, ce que Livia attendait avec impatience. Mes doigts   caressèrent doucement ce fragile temple de l’amour, le firent rouler, le taquinèrent , l’étirèrent, jusqu’à ce que Livia, n’en pouvant plus d’attendre la délivrance de son plaisir, ne m’agrippe et m’attire brutalement sur elle.

Enduite des secrétions naturelles qui inondent généreusement le vagin de Livia, ma bite fut comme aspirée en elle par une irrésistible tornade. Elle pénétra en ce vagin brûlant dans une explosion de sensations aussi  intenses que l’orgasme, bien avant qu’il n’advienne !,

Nous étions entrés l’un dans l’autre tels que nous étions avant que le désir ne nous précipite l’un sur l’autre : Livia était allongée sur son drap de plage, moi écrasé sur elle, en missionnaire.

En commençant à aller et venir en elle nos lèvres restèrent soudées, nos langues mêlées, et nous commencions à suffoquer. Mes mains se jetaient sur toutes les parties de son corps qu’elles pouvaient atteindre… 

Je fis  tourner un peu Livia sur le côté et me plaquai contre son dos, « en cuillères », nos sexes étaient enragés. Ma bite devait avoir un niveau d’érection jamais atteint. Le vagin de Livia se contractait selon  un rythme infernal : je ne sais plus si je la baisais, ou si c’est sa chatte qui me masturbait !

Nous avions depuis longtemps renoncé à taire notre jouissance, nous avons libéré nos cris, grognements, feulements de plaisir !

Enfin, n’y tenant plus, ni l’un ni l’autre, nous nous sommes laissés aller, dans un long cri d’amour, un véritable cri de fauves en rut.

La bonne trentaine de mâles qui s’étaient agglutinés autour de nous nous applaudit longuement, nous fit un une véritable ovation.

Les voyeurs du Cap d’Agde, à la Baie des Cochons, sont un bon public, sympa !…

Livia, les yeux fermés, était apaisée. Autour de nous quelques hommes s’éloignaient, à la recherche d’un autre spectacle. Beaucoup, cependant, guidés par l’instinct (ou l’expérience) continuaient à nous observer. La plupart d’entre eux se caressaient doucement pour entretenir leur érection. Quelques-uns,  par contre, se masturbaient frénétiquement afin de mettre un terme à  l’extrême tension que nous avions fait monter en eux.

 Livia les observait avec une certaine fierté : amener  autant d’hommes en même temps à la jouissance extrême de l’éjaculation était une satisfaction de femme qu’elle savourait avec gourmandise.

Je murmurai quelques mots à l’oreille de Livia qui ne répondit que par un imperceptible signe de tête, mais ses yeux brillaient déjà  d’une excitation nouvelle.

Je fis donc un petit signe d’appel à deux beaux mâles, d’une trentaine d’années, que j’avais repérés pour la belle taille de leur sexe et la vigueur de leur érection. L’un d’eux était un garçon brun de type méditerranéen, à la peau mate, bronzé, avec une musculature bien marquée, sans être excessive. Le second était plus grand, blond, avec une peau très claire déjà rougie par le soleil : probablement un des nombreux scandinaves qui fréquentent régulièrement le centre Hélio Marin. Tous deux avaient le sexe entièrement rasé, ce que Livia appréciait beaucoup !

Le brun fut le plus prompt à s’approcher de Livia, la bite bien bandée, comme une arme fatale, prête à vaincre les résistances que Livia n’avait pas du tout l’intention d’opposer ! Livia, assise sur son drap de plage, tendit les mains pour saisir la bite gonflée, la caresser doucement, et admirer le gland bien rond, largement ourlé comme elle les aimait. L’envie, la concupiscence, se lisaient en lettres d’or dans ses yeux.

Elle ne s’attarda pas trop en préliminaires et, très vite, sa bouche engloutit cette chair pleine des plus folles promesses. Pour Livia, la fellation est une véritable cérémonie qu’elle célèbre avec beaucoup de dévotion : elle ne faisait que commencer !

 Pendant ce temps, le blond scandinave s’était immédiatement agenouillé entre les cuisses largement ouvertes de Livia ; sa bouche s’était aussitôt collée sur le sexe qui lui était offert sans retenue. Sa langue trouva vite l’entrée de la grotte sacrée : ce fut un merveilleux sésame : la porte des grandes lèvres s’ouvrit largement pour lever tous les obstacles et livrer le passage à ce  voleur  de plaisir, ardemment désiré. Dans ce con brûlant de désir, la langue trouvait son chemin et dégustait sans doute, au passage, les traces du sperme que j’y avais déversé.

La gourmandise de cette langue experte et agile l’emmena vite au saint des saints de ce temple de l’amour. Le clito de Livia n’attendait que cet ultime hommage ! Gonflé, turgescent, il se livrait totalement à cette langue et aux lèvres qui le tétaient goulûment. Il ne tarda pas à envoyer un tsunami d’ondes dévastatrices dans tout le corps de Livia, dans tous ses recoins, même les plus secrets. Elle eut l’impression que chacune des cellules de son corps entrait en ébullition, allait exploser !

C’est Livia qui explosa dans un long cri de volupté libérée ; aucune force humaine n’aurait pu s’opposer à la monstrueuse vague de plaisir qui la submergea !

Dans ce déferlement de jouissance, de spasmes et de secousses, la bouche de Livia ne put faire autrement que d’abandonner la gourmandise brune qui l’occupait. Son partenaire de quelques instants paraissait subjugué par le spectacle dantesque   du plaisir de Livia. Complètement transformée par le moment qu’elle vivait : ce n’était plus simplement une femme, c’était l’incarnation d’une déesse sauvage, bestiale, une déesse de l’amour, de la sexualité, de la reproduction ! Le cercle de spectateurs qui nous entourait s’était encore   épaissi. Les hommes, subjugués eux aussi, caressaient leur sexe doucement ou avec   le désir manifeste d’atteindre rapidement ce petit paradis dont ils avaient une illustration vivante sous les yeux.

Après quelques minutes Livia commença à reprendre ses esprits et un peu de calme, mais sa poitrine se soulevait encore au rythme de son excitation. Enfin, elle reprit en mains la bite qu’elle avait été contrainte d’abandonner, et entreprit de la « consoler » par de douces et savantes caresses.

 Elle eut une mimique expressive et, cherchant dans mon sac, je sortis un préservatif que je tendis à l’homme du sud. Me remerciant d’un grand sourire, il comprit que l’heure était venue de passer aux choses sérieuses. Il ne se fit pas prier pour se couvrir.

Livia, allongée sur le dos, attirait déjà la bite bandée vers l’entrée de sa chatte. Elle avait hâte de sentir cette pénétration, de sentir vivre, vibrer cette grosse bite entre les muscles avides de son vagin.

L’homme prit son temps pour s’approcher de Livia, pour établir le contact de leur corps. Il semblait suspendu, comme repoussé par la puissance d’un champ magnétique. C’est sa bouche qui établit en premier le contact avec celle de Livia, dans un baiser un peu timide, qui acquit rapidement la fougue d’un désir passionnel.  Puis ses mains conquirent la douceur, la chaleur des seins palpitants de Livia, et s’approprièrent  les tétons érigés par le désir. Livia haletait, bouleversée par un besoin animal de cette bite qui se faisait cruellement désirer.

Ah oui ! fut le cri banal qui accueillit la fusion du sexe de l’homme et de sa chair ardente. Ah oui !

À ce moment, ce couple, les yeux dans les yeux, souffle contre souffle, à sombré dans l’inconscience totale du monde extérieur. Il  ne vivait plus que par l’intime et absolue communion de leurs sexes. La chaleur, le vent qui parfois soulevait un peu de sable, le ressac des petites vagues se brisant sur la plage, les douzaines de paires d’yeux   rivés sur eux : plus rien n’existait, plus rien ne pouvait s’immiscer entre eux et le bien-être absolu né de cette fusion de leurs sexes , entre eux et un foisonnement de sensations bouleversantes, d’une intensité rarement ressentie.

L’homme, maître de ses sens, s’appliquait à prolonger l’émerveillement de cet instant.

C’est Livia qui rendit les armes.

– C’est trop, c’est trop, je n’en peux plus ! Donne-moi ton foutre, oui, je veux te boire.

L’homme se retira du corps de Livia et retira prestement son préservatif. Livia offrit aussitôt sa bouche à ce sexe d’homme, rencontré il y a si peu de temps, pour y recevoir les longues saccades de sa jouissance accumulée.

Le grand blond, un peu frustré, se masturbait vigoureusement. Sa bite, longue et raidie comme une lourde tige d’acier commençait être agitée de spasmes précurseurs de l’orgasme. Livia lui offrit sa bouche pour achever ce que son sexe ne lui avait pas donné. L’homme s’engouffra dans cette bouche offerte et après le premier contact, s’y enfonça jusqu’au fond de la gorge, pour, aussitôt y déverser les longues et puissantes giclées de son sperme.

Livia lui sourit, en remerciement du plaisir qu’elle avait reçu. Les douzaines de spectateurs massés autour de nous semblaient  hypnotisés  par l’intensité du spectacle auquel  ils avaient assisté. Tous, pratiquement, se masturbaient avec l’intention évidente d’apaiser au plus vite la tension insoutenable qui étreignait leurs couilles prêtes à exploser.

Je leur ai alors demandé d’offrir leur sperme à Livia, à celle qui avait provoqué en eux cette montée de sève. Je leur ai demandé d’éjaculer, tous, sur son corps, de l’inonder entièrement de leur sperme.

Sans attendre, les hommes les plus près de l’orgasme, se sont approchés de Livia et ont accéléré leur masturbation. Bientôt les premières giclées de sperme ont maculé ses seins, puis son ventre, son sexe, ses cuisses. Puis vinrent les giclées s’écrasant sur son visage, dans ses cheveux. Parfois Livia ouvrait grand la bouche pour y recevoir et goûter ces abondantes giclées. Lorsque le sperme obscurcissait sa vision, Livia écartait de son doigt la liqueur importune.

Les uns après les autres, tous les hommes, comblés par l’extraordinaire spectacle qu’elle leur avait offert, ont honoré Livia de leur semence.

Livia n’était plus qu’une statue de sperme !

Tous les hommes satisfaits, je me suis rapproché de Livia : elle était rayonnante, ses yeux brillaient de plaisir, c’était l’image de la femelle comblée !

Je m’approchai de son visage maculé, écartai une larme de sperme qui descendait de son sourcil, et l’embrassai   goulûment, savourant le goût du sperme qui avait pénétré sa bouche.

Puis mes mains caressèrent ses seins, tout son corps.. Mes paumes écrasaient, étalaient le sperme sur sa peau comme pour l’y faire pénétrer, à l’instar d’un magique élixir de jouvence.

Ma bouche retrouvait ses mamelons, ses tétons, et se délectait du goût légèrement salé qu’y avaient laissé les offrandes déposées par ses admirateurs d’un jour.

Resté longtemps simple observateur, mon corps commençait à réclamer un rôle plus actif. J’avais bandé presque tout l’après-midi, m’étais parfois laissé aller jusqu’à activer la soupape de la cocotte-minute, mais en cet instant, mon désir se manifestait avec une évidence affirmée. Je me suis allongé sur le corps couvert de sperme de Livia. Je m’y suis longuement frotté, comme pour m’imprégner de la substance même des mâles qui l’avaient honorée ; je me vautrais dans le foutre avec délectation !

Ma bite et sa chatte amoureuse s’unirent une nouvelle fois, mais dans un coït lent, mesuré, dont la lenteur exprimait l’intensité. Je voulais sans doute lui exprimer ma reconnaissance, la remercier du plaisir exceptionnel que j’avais eu à la voir offrir, partager son corps avec tous les mâles disponibles de la plage.

Oui, « merci » est bien le dernier message que mon sexe a exprimé dans le sien !

                                                    *

                                               *         *

À peine entrée dans notre petit studio, Livia s’écroula sur le lit, bras en croix, anéantie. Il faut admettre que, cet après-midi, elle a beaucoup donné de sa personne !

Je m’assois sur le bord du lit et lui souris. Je passe mes doigts dans sa chevelure soyeuse dont le contact me parait toujours aussi émouvant. Je lui demande :

– Dis-moi de quel réconfortant tu as envie et le docteur Fabien te fera aussitôt l’ordonnance ; il te livrera lui-même sa prescription… sans mettre en cause l’équilibre budgétaire de la sécurité sociale !

– Avant toute chose, j’aimerais un grand verre d’eau !

Fabien lui apporta aussitôt une bouteille d’eau bien fraîche, du petit frigo, et un grand verre à orangeade. Il emplit le verre que Livia but avec un grand sourire de satisfaction et de reconnaissance.

– Et ensuite, chère Madame, que désirez-vous ?

– Ensuite, Madame désirera prendre une bonne douche, nécessaire et bien méritée, malgré le rapide rinçage à l’eau de mer ! Je vais quand même te demander cinq minutes de repos pour récupérer un peu !

 

J’avais réservé un coquet studio idéalement situé dans la résidence « Port nature », côté port, exposé plein sud.

Ce studio est en rez-de-jardin d’un immeuble aux terrasses et balcons décalés afin d’offrir un maximum de soleil à tous les résidents. Aucune voie, dans la résidence, n’est accessible aux véhicules, ce qui offre un calme et une tranquillité complète très appréciable.

Tout a été conçu, dans cet immeuble, pour favoriser les échanges libertins entre résidents : notre terrasse ouvre sur l’extérieur par un petit portillon et, entre les studios, terrasses et balcons sont symboliquement séparés par un petit muret d’environ un mètre de haut. Par ailleurs, du côté opposé, tous les studios ouvrent sur une coursive interne reliant la totalité des zones nommées « collines ».

Nous sommes à la colline cinq.

La superficie est mesurée, mais permet facilement à deux ou trois couples de passer une inoubliable soirée.

Au milieu de la pièce, décorée avec goût de posters érotiques, le grand lit trône ostensiblement. Sa disposition est conçue pour que plusieurs personnes puissent y avoir accès ! Le matelas est ferme et confortable. Il est certainement capable de résister aux plus rudes assauts.

Le lit partage toutefois la vedette avec la cabine de douche intégrée à la pièce principale. Plaquée contre une des cloisons, elle peut offrir un spectacle attrayant, car sur les trois côtés, elle est constituée de panneaux de verre aussi  transparents que les parois d’un aquarium. Détail intéressant : elle est assez spacieuse pour accueillir deux personnes simultanément. Sans doute pour économiser l’eau ? ( les architectes pensent à tout !).

                                                    *

                                               *          *

 

Avec Livia, nous avions prémédité un petit jeu que nous   avons décidé de réaliser ce soir.

Soucieuse de remplir son rôle à la perfection, pour qu’une réussite complète nous donne l’occasion de vivre une soirée inoubliable, Livia commença par s’affairer dans la salle de bains. Elle se doucha et, par un massage attentif, pénétrant, elle enduisit son corps des crèmes les plus douces. Elle se parfuma, puis, devant la grande glace de la coiffeuse, arrangea méticuleusement sa magnifique chevelure blonde. Enfin quelques discrets traits de maquillage soulignèrent la beauté de son visage. Elle était magnifique. Je dus faire un réel effort pour ne pas déranger prématurément une si belle ordonnance.

Livia sortit alors du dressing une minijupe moulante, d’un jaune d’or qui attire irrésistiblement les papillons ! Elle opta, pour le haut, pour un petit chemisier blanc cassé, sans manche. Pour se promener dans Port Nature, ça faisait presque « habillé ».

Avant de passer ces mini vêtements, Livia me regarda d’un air interrogatif afin de provoquer l’intervention que nous avions prévue.

J’ouvris donc un tiroir et en sortis les « accessoires » que Livia allait porter pendant tout le temps de notre promenade.

Je commençai par des boules de geishas que j’enduisis de salive avant de les faire entrer doucement dans le fourreau de son vagin. Puis je sortis un gros plug anal noir et l’enduisis généreusement d’un gel lubrifiant. Livia se pencha en avant, offrant la nudité sublime de ses fesses. Avec douceur, j’appuyais l’extrémité du plug sur l’œillet froncé qui semblait palpiter d’impatience. Avec le plus grand respect pour ces chairs fragiles, avec la plus grande douceur, je forçai progressivement l’entrée de son corps, avec un léger mouvement tournant, alternant l’un et l’autre sens. Lorsque la partie la plus épaisse eut franchi la résistance du sphincter, le plug plongea, aspiré en elle, se plaqua sur l’intimité de ses fesses. Je sortis alors ce joli petit string fuchsia dont la particularité tenait à  l’épaisseur de la ficelle qui réunissait ses principaux éléments. Je le tendis pour que Livia y passe les jambes, mais de telle façon qu’elle l’enfile devant-derrière ! De cette façon, le gros lacet pénétrait obligatoirement en plein cœur de sa chatte, partageait ses grandes lèvres, ses nymphes, et écrasait son clitoris. En tirant bien ce string le plus haut possible, le cordonnet sciait littéralement sa chatte à chaque pas, écrasait impitoyablement son clitoris. Je me contentai de passer un petit short, et c’est ainsi que nous sommes partis pour une bien agréable promenade.

Nous sommes partis en direction du port. Les bateaux me font toujours rêver : rêves de courses lointaines, de rivages tropicaux, de mer, de goélands, de soleil, de plages immaculées, de folles croisières libertines ! Devant certains yachts parfois, ce sont des rêves inaccessibles de luxe et de richesse !

Nos pas, ignorant toute précipitation, nous avaient néanmoins fait parcourir une bonne distance. Découvrir le port et en explorer les proches environs nous avait ainsi fait marcher près d’une heure.

Pendant ce temps, Livia subissait stoïquement son délicieux supplice. Dans son ventre, les boules de geishas émettaient à chaque pas des ondes captées par son sexe qui, rapidement, à réclamé avec de plus en plus d’exigence un apaisement toujours refusé ! Le plug, lui, massait avec application l’anus de Livia qui, lui, se faisait moins exigeant.

Par contre, le diabolique cordonnet du string martyrisait littéralement sa vulve, incrusté dans sa chatte, comme s’il allait la cisailler, écrasant impitoyablement son malheureux clito. L’irritation qu’il provoquait obligeait Livia à s’arrêter de temps à autre, jambes écartées, mais, par règle convenue, Livia s’interdisait de déplacer ce cordonnet qui, au-delà de l’irritation, mettait le feu à son corps.

Nous avions, en fait, effectué un circuit qui nous ramenait à proximité de notre immeuble. L’un comme l’autre, nous avions hâte de nous retrouver. D’un commun accord, nous décidâmes donc de retourner au studio, pressés de mettre fin à  l’« horrible » épreuve à laquelle Livia était soumise… et à profiter de toutes les pulsions, tous les élans, les désirs que ce « supplice » n’a pas manqué de faire naître.

Arrivés  près de notre immeuble, nous voyons, au second étage, un couple étroitement enlacé sur leur balcon, déchaîné par une baise effrénée ! Ici, ce n’est pas rare ! Livia et moi, collés l’un contre l’autre, nous arrêtons, subjugués, et observons ce couple.

Livia, est au paroxysme d’un désir exacerbé par ses « accessoires », et moi, je communiais par la pensée avec le désir de Livia, l’éprouvant aussi intensément. À ce spectacle, serrés l’un contre l’autre nos corps vibrent à l’unisson. Le couple a remarqué que nous étions hypnotisés par leur plaisir. L’homme nous fit un signe amical et continua à faire jouir sa partenaire, qui ne se privait pas d’exprimer bruyamment ses sensations les plus intenses.

Je serrai Livia contre moi avec encore plus de force, remontai sa petite jupe pour dévoiler ses fesses, fis descendre son string « inversé » à ses pieds, puis tirai sur le fil pour faire ressortir les boules de geishas. Dans le même temps, mon petit short était miraculeusement descendu pour libérer une érection impérieuse.

Je fis pencher Livia en avant et la pénétrai avec une précipitation qui exprimait pleinement l’impétueux besoin que j’éprouvais de m’accoupler avec une femelle. C’était un besoin irrépressible, absolument bestial. Livia n’était pas à un moindre degré d’exaltation sexuelle : tous les deux nous étions fous, il y a très longtemps que nous n’avions pas joui avec autant d’intensité ! Les sens affolés, mais épuisés, apaisés, nous finissons par nous désunir, à regret. 

En levant les yeux, nous constatons que c’est désormais le couple inconnu qui nous observe. Appuyé à la rambarde du balcon, ils nous fait des gestes amicaux ; du bout des doigts, la femme nous envoie des baisers…

                                                    *

                                               *         *

Je dormais encore profondément quand j’ai senti une douce caresse de doigts sur mon visage, le frôlement de lèvres chaudes sur les miennes. C’était comme un rêve, un rêve de chaleur, de douceur, un rêve paisiblement érotique.

Le rêve s’est progressivement dissipé et la vérité est apparue sous les traits de Livia. J’éprouvais l’envie de me renfoncer dans mon rêve, mais Livia insistait gentiment et j’ai fini par admettre la nécessité de refaire surface !

Livia s’était réveillée et levée la première, et m’apportait un bon café censé m’aider à retrouver mes esprits : elle était adorable ! Avant de prendre la tasse qui m’était tendue, je me suis redressé, j’ai baillé outrageusement et ai remercié Livia d’un profond baiser reconnaissant !

 Il n’était pas loin de onze heures trente ! D’un commun accord nous avons renoncé aux tartines et autres viennoiseries. Après le café nous avons simplement pressé quelques oranges et sommes sortis déguster notre nectar sur la petite terrasse.

Cela faisait moins d’un quart d’heure que nous étions là, à papoter tranquillement, profitant de la fraîcheur d’un léger vent marin, en évoquant toutes les images et sensations éprouvées lors de notre chaude soirée d’hier soir, quand un couple, aussi nu que nous, comme il se doit, s’arrêta devant le petit portillon qui nous séparait de la rue.

– Hello ! firent-ils en chœur, avec de grands sourires et un petit geste de la main. C’est la femme qui prit la parole.

– Nous sommes vos voisins du deuxième étage… nous nous sommes aperçus hier après-midi… dans la rue… nous vous avons observés et avons beaucoup apprécié ! En passant, nous vous avons vus ici, et vous avons reconnus… alors, on s’est arrêtés pour dire un petit bonjour !

Nous nous sommes levés pour accueillir nos visiteurs, en leur souhaitant la bienvenue et Livia est allée ouvrir le portillon, en les invitant cordialement à entrer.

La femme a fait une bise amicale à Livia et s’est dirigée vers moi. C’était une belle femme blonde, cheveux courts, de taille moyenne. Un corps assez mince, mais sans excès : un corps de sportive entraînée, avec une poitrine généreuse et ferme dont chaque téton est traversé d’un barbell !  De vrais seins torpédo qui devaient, dans une robe du soir, offrir un décolleté fabuleux ! Elle vint directement vers moi, passa ses bras autour de mon cou et écrasa sa bouche contre la mienne, dans un baiser appuyé, chaud et dévorant. Mes dents s’ouvrirent sans réticence pour accueillir une langue qui cherchait la mienne, la dégustait, s’y enroulait goulûment. Dans le même temps, je sentais la chaleur des deux seins qui s’écrasaient contre ma poitrine. Le pubis de la femme, plaquée contre le mien, s’y frottait langoureusement, massant voluptueusement mon sexe qui amorça rapidement une vigoureuse érection. La femme prit alors ma bite en main et commença une caresse diabolique qui acheva de faire triompher une érection impressionnante.

De la même façon directe et explicite, l’homme faisait connaissance avec Livia.

Un premier contact d’une efficacité redoutable ! Au cours de ces quelques premières minutes, aucune parole n’a été prononcée, mais tout était dit !

La femme se détacha de mes lèvres pour respecter les convenances et se présenter :

– je m’appelle Frieda, et mon mari, c’est Enrick.

Je présentai alors Livia et moi-même.

Enrick devait avoir su faire monter la pression interne de Livia qui, sans autre préambule, prit l’initiative de nous entraîner tous à l’intérieur, avec des intentions sans équivoque.

Nous nous sommes immédiatement tous retrouvés côte à côte, en travers du lit. Frieda, bouche béante, se précipita aussitôt sur ma bite qu’elle engloutit jusqu’au fond de la gorge. Elle commença alors une fellation savante et efficace où ses lèvres et sa langue conjuguaient leur action pour masser, chauffer, titiller chaque parcelle de cette queue qu’elle s’était appropriée, et qu’elle menait au bord de l’explosion.

La position de Frieda me permettait de faire connaissance avec ses seins que je caressais et palpais longuement avec un plaisir non dissimulé. C’était des seins généreux, lourds, mais sans excès, fermes et doux, à la peau fine et soyeuse, avec des aréoles roses, pas très grandes. Ses tétons percés, maintenant fermement érigés, captaient toute mon attention. Mes doigts se hasardèrent à les caresser, à manipuler doucement les barbells. Frieda m’encouragea :

– Tu peux y aller franchement, comme tu veux, j’aime bien, ça m’excite !

Je laissai alors libre cours à cette nouvelle curiosité. Ma bouche ne tarda pas non plus, à vouloir les découvrir. Je demandai:

– Je ne te fais pas mal ?

– Non, absolument pas : après complète cicatrisation, la sensibilité est absolument identique à ce qu’elle était avant le piercing !

À côté de nous, Livia et Enrick faisaient ardemment connaissance. Les deux femmes semblaient rivaliser de dynamisme pour s’activer sur la queue des hommes. Enrick avait entrepris d’explorer le vagin de Livia. Deux ou trois de ses doigts allaient et venaient, tournaient dans cette chatte offerte, abondamment inondée.

Ce traitement eut rapidement raison de la patience de Livia qui plongea la main dans le tiroir du chevet pour en ressortir quelques préservatifs.

Frieda en prit un et déchira prestement l’enveloppe. Avec une rapidité et une efficacité dénotant une longue pratique, je me retrouvai encapoté et tourné sur le dos, bite en l’air, bandée comme un obélisque.

Frieda m’enfourcha aussitôt, en cavalière expérimentée, et présenta sa vulve à mon gland enflammé. Elle s’y empala d’un coup, jusqu’à la racine, tant elle était mouillée et inondée. C’était le début d’une chevauchée fantastique, de celles qui conduisent irrésistiblement d’invincibles cavaliers à la victoire.

Frieda était vraiment belle dans le plaisir. Ses traits transfigurés exprimaient toute l’intensité de sa jouissance : elle semblait avoir pénétré un autre monde, voguer sur un océan de béatitude.

 Moi, je n’avais pas pu résister. Je ne sais pas comment je m’étais laissé emporter par ce courant impétueux, irrésistible. Je ne me contentais plus que de jouir intensément de cette sensation merveilleuse qui m’était donnée et qui me submergeait !

Une pensée traversa mon esprit : je ne voyais plus qu’une fougueuse Amazone que rien n’arrête, dominatrice, conquérante ! La seule chose qui la différenciait des Amazones est que, heureusement, elle avait ses deux beaux seins. Certainement qu’elle ne tirait pas à l’arc. Manifestement, elle devait se contenter d’être la cible : une cible dont son sexe était le centre, et qu’elle aimait sentir transpercée par les flèches des mâles !

Alors que je me laissais aller à cette ineffable douceur qui imprégnait chaque fibre de mon corps, Frieda atteignit ce point de non-retour où aucune volonté humaine ne peut plus contrôler le déferlement d’un tsunami de plaisir.

Elle se dégagea de l’emprise de ma bite et son doigt fébrile, sur un clitoris exacerbé, provoqua les ultimes soubresauts d’un extraordinaire orgasme. Le corps tendu, arc-bouté par une pression interne insoutenable, vibrant comme une corde sous l’impitoyable archet du plaisir, elle libérera un long cri de femelle comblée. Dans le même temps, le puissant jet d’un liquide clair et chaud, en plusieurs saccades, inonda mon ventre, éclaboussant jusqu’à mon visage : une femme fontaine !

                                                    *

                                               *         *

Nos corps ont très largement et intimement fait connaissance, mais nous ignorons absolument tout les uns – et les unes – des autres. Autour de la petite table de la terrasse, nous allons parler un peu de nous.

Avant d’en venir aux confidences, Livia, en parfaite maîtresse de maison, propose un nectar pour nos papilles. D’un commun accord nous écartons le champagne. Nos visiteurs et moi optons pour un scotch et Livia reste fidèle à sa vodka-orange.

Très vite Livia apporte verres et bouteilles, et les glaçons ne tardèrent pas à tintinnabuler joyeusement dans nos verres.

Immédiatement, Frieda, jamais à court d’initiative, attaqua :

– Nous sommes allemands…

Leur accent assez prononcé ne laissait aucun doute ! Livia les félicita, sincèrement, pour leur parfaite maîtrise de la langue française.

– Nous sommes frontaliers : nous habitons Kehl… il suffit de passer le pont de l’Europe, et nous sommes à Strasbourg. D’ailleurs, Enrick et moi travaillons à Strasbourg, dans une grande brasserie où nous avons eu la chance de nous rencontrer !

Les banalités se succèdent… les goûts, les loisirs… inéluctablement arrive le moment des confidences intimes.

 – C’est le libertinage qui nous a rapprochés, Enrick et moi. La liberté naturelle avec laquelle j’aborde tout ce qui concerne le sexe, n’a pas été appréciée par les hommes avec lesquels j’ai essayé de vivre un peu de chemin et j’étais très souvent seule, réduite aux « coups d’un soir », et aux soirées en club.

Physiquement j’y trouvais mon compte, j’étais loin d’être  « en manque », mais j’aspirais à autre chose : j’aime passionnément le sexe, la bite, j’aime passer de mâle en mâle, mais d’instinct, sans doute, je rêvais d’un foyer, avec un mari, des enfants…

La rencontre avec Enrick, libertin convaincu, acharné, a été ma chance. Moins d’un an après notre rencontre, nous étions mariés, et nous épanouissons pleinement dans la liberté totale de notre vie.

– Nous fréquentons régulièrement le milieu libertin de Strasbourg où nous avons constitué un carnet d’adresses bien rempli. Au moins deux ou trois fois par semaine, le téléphone sonne pour notre plus grand plaisir.

Enrick, assez réservé jusqu’alors, commença à s’animer à l’évocation de ces « échanges culturels » et compléta les confidences de Frieda.

– Ma femme est très appréciée de tous nos amis car, en aucune langue, elle ne sait dire non, quels que soient les fantasmes de ses partenaires, hommes ou femmes. Elle est donc très sollicitée, et ne manque jamais de me faire un récit détaillé des soirées auxquelles il m’est parfois impossible de l’accompagner.

– Vous avez des enfants ? Demanda Livia.

– Oui, nous avons deux beaux garçons, de six et huit ans ! Heureusement, ma mère habite également Kehl et est très disponible. Les enfants l’adorent et pour eux, aller chez mamie, c’est le bonheur ! Et vous-même ?

Livia dit être jeune et avoir le temps avant de fonder une famille !

Passé cette parenthèse, Frieda reprend le fil de sa conversation :

– Parmi nos amis, nous avons quelques couples échangistes qui nous ont initiés à cette pratique. Le temps d’un week-end les hommes se rendent au domicile d’une femme. Tout est organisé pour que personne à l’avance ne sache quel sera son ou sa partenaire. Cette ignorance est préservée tout au long du week-end : nous nous interdisons strictement tout contact téléphonique. Dans le nouveau couple, chacun peut tout proposer, mais la règle absolue est que rien ne peut se faire sans l’accord absolu des deux partenaires.

Au retour de ces week-ends, l’un comme l’autre, faisons une narration complète et détaillée de ce que nous avons vécu. Nous nous retrouvons alors dans l’explosion des tensions, des excitations accumulées. C’est un festival du sexe qui débouche sur des orgasmes d’une intensité sans équivalent. Tout explose en nous. Nous sommes submergés par des jouissances extrêmes, jamais éprouvées… et cet état d’excitation peut durer plusieurs jours : c’est inimaginable, tant qu’on ne l’a pas vécu !

          Nous nous laissons captiver par le charme de ces confidences, mais l’heure tourne, agréablement certes, mais il est temps de passer aux propositions concrètes :

Avec Livia, nous avions prévu d’aller manger au restaurant du Glamour Beach et, après, d’aller découvrir l’après-midi mousse. Tout le monde dit que c’est un incontournable du Cap. Il paraît qu’il y a une ambiance formidable ! L’après-midi, les coins câlins du sous-sol sont fermés et nous avons donc programmé de finir la journée à la baie des cochons. À ce moment-là, la police, trop souvent présente au poste de secours, arrête sa surveillance, et tout le monde se déchaîne ! Est-ce que cela vous tenterait de venir avec nous et de partager nos réjouissances ?

Frieda et Enrick se regardèrent rapidement pour accord et, acceptèrent cette proposition avec enthousiasme.

          Pour sceller ce pacte de très mauvaise conduite, je proposai une petite « rincette ». Les deux femmes refusèrent, arguant qu’elles n’avaient pas besoin d’être pompettes pour succomber à nos propositions malhonnêtes ni à celles qui leur seraient soumises par qui voudra cet après-midi !

Enrick et moi, par principe, nos servîmes, chacun, un mini baby.

Le dernier glaçon fondu, Enrick demanda :

– Je pense qu’après le Glamour, nous repasserons ici pour prendre notre sac de plage ?

– S’il n’est pas trop volumineux, tu peux le laisser au vestiaire du Glamour, avec les vêtements, les papiers et tout ce qui n’est pas indispensable ! C’est ce que nous pensions faire.

– C’est parfait ! Je vous demande donc de m’excuser quelques minutes, le temps de monter chercher notre sac de plage.

                                                    *

                                               *         *  

          Notre repas terminé, on ne peut pas dire que la mousse n’attendait plus que nous : il y avait déjà beaucoup de monde à s’amuser et batifoler dans la mousse complice de toutes les mains égarées sur les plus proches anatomies.

          Le D.J déversait des flots d’une musique d’autant plus agréable qu’elle était d’un niveau acceptable.

Après avoir déposé nos légers vêtements et autres impédimentas au vestiaire, nous avons pris contact avec la mousse. Cela surprend un peu, pour une première fois, mais on s’habitue très vite et on se laisse tout de suite séduire par l’ambiance joyeuse qui y règne : tout le monde se défoule et s’amuse comme des enfants !

Où nous sommes entrés, la mousse n’était pas très profonde, mais progressivement nous sommes descendus jusqu’à en avoir au-dessus de la ceinture.

En bon libertin c’est avec gourmandise, que je palpe tout ce qui passe à ma portée : en haut, en bas, au milieu… on ne voyait plus, non plus, les mains de Enrick : elles étaient plongées dans l’anonymat de la mousse, à la recherche de tous les trésors qu’elles pouvaient y découvrir.

Les fesses de la jeune et jolie femme qui se trouve près de moi sont somptueusement fermes, et leur galbe évoque une Vénus antique. À l’aveugle, je découvre un peu son corps et attrape sa main que j’attire à moi. La jeune femme me fait face et se plaque contre moi. Ses bras m’enserrent. De toute ma force, je serre son corps contre le mien. Nos bouches se sont aspirées, langue contre langue. Nous sommes unis, collé-serré, du haut en bas de nous-mêmes. Elle et moi animons nos corps dans un frotti-frotta qui enflamme nos sens. La mousse permet à nos peaux de glisser voluptueusement l’une contre l’autre.

L’instant est d’une sensualité inégalable. Sans rien changer à notre danse charnelle, la jeune femme saisit ma bite gonflée d’une excitation extrême et approche mon gland de son sexe. Elle en fait l’instrument de son plaisir pour stimuler ardemment son clitoris au rythme de la musique qui nous enveloppe.

Je vois son visage s’épanouir, se métamorphoser, ses yeux se clore.

Le monde autour de nous s’est évanoui, elle et moi vivons hors de toutes les contingences qui nous entourent, dans une bulle de plaisir.

Je n’en peux plus, c’est trop… J’éjacule sous l’étreinte de sa main, dans une explosion de jouissance. Mon plaisir déclenche le sien et, dans une ultime contraction de tout son corps, elle est incapable de retenir le cri que son orgasme lui arrache.

 

L’avantage des jolies femmes est d’attirer aussi les beaux hommes ! C’est donc sur un matelas, entre les bras d’un spécimen particulièrement réussi de la gent masculine, que j’ai retrouvé Livia : ils baisaient comme Livia aime baiser : fougueusement. L’homme était effectivement un bel étalon, avec un corps de sportif entraîné, châtain clair, pour une fin de trentaine. J’ai attendu l’apothéose de leur plaisir pour m’approcher. Livia était radieuse, satisfaite…

Nous avons discuté un moment, agréablement, et j’ai dit à Livia que j’allais essayer de retrouver Frieda et Enrick, expliquant que nous avions prévu de finir l’après-midi à la baie des cochons. Voyant que Livia appréciait son nouveau partenaire, j’ai proposé à l’homme de nous accompagner.

– Je vous remercie, j’aurais beaucoup aimé prolonger le contact avec Livia, mais ma femme n’aime pas la baie des cochons : elle n’est pas du tout exhib, et faire le show au centre d’une grappe de trente, quarante ou cinquante voyeurs, ce n’est pas du tout son truc : elle préfère le calme cosy des coins câlins !

Livia a donc quitté son plaisir d’un moment, et nous sommes partis à la recherche d’Enrick et Frieda. Nous les avons retrouvés sans trop de mal, et nous sommes dirigés vers le vestiaire.

                                                    *

                                               *         *

Même en cette fin d’après-midi, le soleil ne trouvait pratiquement aucun obstacle pour frapper les corps nus qui lui étaient offerts. Aucun vent, pour l’instant, n’apportait la moindre fraîcheur. Seul le bruit du ressac, le bruit des vagues courtes déferlant sur la plage, évoquait autre chose que la chaleur de ce jour de juillet sans nuage.

La plage était complètement envahie, de nombreux amateurs avaient pris place, proches les uns des autres. Les parasols mettaient de toutes petites taches d’ombre sur les minuscules grains de sable éblouissants qui réverbéraient une chaleur intense.

Nous avons eu la chance de profiter du départ de deux autres couples pour nous installer assez près de l’eau.

Les promeneurs au pas lent longeaient le bord de mer, le regard attentif, dans l’attente d’un show, d’un spectacle donné par des couples aiguillonnés par le désir, et venus là, parfois de très loin, pour satisfaire le désir d’une liberté totale jusque dans l’exposition, l’exhibition de leur plus profonde intimité.

Frieda sortit son drap de bain et celui d’Enrick de son sac de plage. Elle les étala soigneusement sur le sable. Elle s’y assit, et demanda à Enrick d’enduire sa peau trop blanche d’une bienfaisante crème solaire. Manifestement, l’un comme l’autre appréciaient ce doux massage qui n’hésitait pas à s’attarder sur les parties les plus sensibles d’un corps de femme.

Ce rituel accompli, Frieda mit ses lunettes de soleil et s’allongea sur son drap.

Très vite elle écarta les jambes autant qu’elle le put comme pour faire bronzer les lèvres de son sexe. Elle commença alors à caresser sa chatte doucement, sans même effleurer son clito, pour le moment.

 Un des nombreux voyeurs saisit l’opportunité et vint s’allonger sur le sable, à plat ventre, la tête entre les pieds de Frieda et les yeux rivés sur son sexe. Frieda sembla apprécier cet hommage et, de ses deux mains elle écarta ses grandes lèvres, puis les nymphes, dévoilant la chair tendre et fragile de son intimité de femme. L’homme se redressa pour satisfaire le besoin d’une masturbation fébrile qui le conduisit à l’éjaculation.

L’homme parti, derrière ses lunettes noires, Frieda semblait épier la réaction des voyeurs de passage, et adapter son comportement aux réactions qu’elle percevait. Elle prenait vraiment plaisir à exciter tous ces mâles. Le spectacle qu’elle donnait commença très vite à intéresser au plus haut point un certain nombre d’amateurs éclairés. Il faut dire que c’était du grand art !

Son vagin, ouvert aux regards, mais aussi à l’air du large, commença à réclamer plus et Frieda répondit à son appel. Deux doigts secourables vinrent combler ce sexe trop vide. Elle commença un va et vient qui provoqua déjà un afflux de mouille qu’elle fit goûter à Enrick.

Le principe d’une bombe atomique est de provoquer une énorme production d’énergie, à partir d’une réaction en chaîne.

La réaction en chaîne poussa Livia à engloutir et pomper la queue de Enrick, avec l’énergie du plongeur qui aspire l’air après avoir battu un record en apnée.

Pour ma part, depuis quelque temps déjà je me caressais doucement et palpais avec délectation la poitrine de Livia : un plaisir dont je ne me lasse jamais ! Je sentis alors le désir irrépressible de goûter, boire son sexe, me désaltérer de la mouille qui maintenant l’inondait abondamment. La tête entre ses jambes, ma bouche collée à sa chatte, ma langue fouillait l’intimité de son sexe, je m’abreuvais de sa liqueur.

Frieda se pencha alors sur son sac de plage et en ressortit un énorme godemichet noir, sans doute moulé sur le plus impressionnant des big black cocks jamais vus !

Allongée sur le dos, elle passa sa langue sur le monstre et le présenta à l’entrée de sa chatte. Elle commença à appuyer doucement et, progressivement, la bête entra dans son antre.

Autour de nous, une horde de voyeurs s’était accumulée. Tous les mâles voulaient ne rien perdre de ce spectacle, rare, même ici ! Les uns se caressaient doucement pour entretenir leur érection, d’autres, se masturbaient énergiquement, trop excités pour faire durer leur plaisir. Les quelques femmes présentes, prises par l’émulation, s’activaient sur les bites bandées à proximité de leurs mains ou de leur bouche, sans trop se préoccuper de savoir à qui elles appartenaient !

Frieda se limait de plus en plus vigoureusement avec son énorme rêve de vierge. Son bassin ondulait, suivait la cadence. Son souffle s’accélérait, se faisait court. Tous ceux qui assistaient à la scène prenaient conscience de la montée du plaisir qui allait immanquablement submerger cette femme.

Frieda se leva alors, le godemichet fiché et maintenu d’une main au plus profond de son con. Elle se dirigea vers le cercle de ses admirateurs.

De sa main libre, elle empoigna une bite superbement bandée, digne des représentations les plus excessives du dieu Priape, et attira l’heureux propriétaire de cette bite. Arrivée à son drap de bain, elle se mit en levrette et recommença à limer sa chatte avec le gode monstrueux, puis elle dit au partenaire qu’elle avait choisi :

– Encule moi !

L’homme ne se fit pas prier et s’agenouilla derrière Frieda. Tout en continuant à se caresser doucement, il mouilla un doigt de salive et caressa le petit œillet de Frieda. Lorsqu’il appuya, il n’eut aucun effort à faire pour pénétrer jusqu’au fond ce cul accueillant. Il fit tourner son doigt, puis en fit pénétrer un second pour préparer l’entrée de sa bite. Il se rendit rapidement compte que ces préliminaires étaient superflus !

Il ajusta son préservatif et présenta son gland à l’entrée du temple. Il n’eut effectivement aucun effort à faire pour y engloutir sa queue jusqu’à la racine !

Depuis le début, Livia s’était assigné la charge de satisfaire les désirs d’Enrick et les miens : désirs exacerbés par l’intensité érotique du spectacle offert à tous par Frieda.

Enrick s’était repu des seins de Livia, de sa bouche, de son corps, de son sexe. Il avait embrassé, léché, palpé, pétri, caressé, sucé, pénétré, défoncé tout ce qui pouvait l’être sur et dans le corps de Livia. Il s’en était enivré, saoulé. Maintenant il « cuvait » le plaisir dont il avait abusé !

 J’avais, également joui de Livia autant que l’intensité de mon désir le permettait.

Ce sont les tonitruances de Frieda qui claironnait sa jouissance à grand renfort de rugissements dignes d’un fauve en rut, qui nous sortirent d’un début de somnolence

Elle s’écroula sur son drap, abattue, brisée, épuisée par l’intensité du moment qu’elle venait de vivre. La grappe de voyeurs massée autour d’elle, applaudissait chaleureusement : c’était une vedette, vraiment une femelle comme on n’en voit peu !

***

 







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