Extrait # 15 

  

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Je suis maintenant entourée d'inconnu avec leur sexe dirigé vers moi. Je suis aux anges, cependant. un peu mal à l'aise :

 

• Serais-je à la hauteur ?
• Est-ce qu'ils vont aimer ?
• Je ne sais pas pourquoi les hommes en général ne gémissent pas.

 

C'est ennuyeux pour nous les femmes de ne pas savoir si les hommes aiment ou pas.

 

— En passant Messieurs, dites-le-nous lorsque c’est bon, vos fellations seraient bien meilleures. Nous pourrions nous attarder à ce que vous aimez le plus.

 

Je prends la première queue à ma portée avec ma main gauche. Je la pompe pendant que je continue à sucer mon mari. Ma main droite imite la gauche. J'enfonce la queue de mon homme dans ma bouche et je dégage mes mains afin de tenir ses fesses pour le retenir quelques secondes au fond de ma gorge. Je me retire pour aller vers le gars juste à côté. Je dépose mes lèvres sur son gland le sourire aux lèvres en le regardant dans les yeux d’un regard fougueux et sauvagesse. Je passe ma langue jusqu'à ses testicules. Je suce chacune d'entre elles avant de remonter le long de son membre. Je la prends au fond de ma gorge, je reviens, je la suce, je l’aspire, je fais des va-et-vient en prenant soin d’y mettre abondamment de salive. Je le pompe en le regardant encore dans les yeux le sourire aux lèvres. Sa queue est maintenant dure comme du rock, prête pour me pénétrer, alors je passe maintenant au suivant.

 

 

Je perçois des mains fouilleuses caresser mon dos. Une autre main se glisse sur mes fesses, descend vers ma zone humide, je suis déjà trempée. Il glisse ses doigts dans ma chatte pour me doigter. Je jouis en quelques secondes. Je reviens à mes queues, qui se languissent de ma bouche chaude et humide, pour continuer de les sucer un à un. Après les avoirs tous goûtés, je demande de l’aide pour me relever, car un accident de voiture ma volée un morceau de genou, vingt ans auparavant.

 

Je m'installe sur le lit avec tous ces beaux messieurs. Je me pince, c'est quasiment irréel. Les hommes sont tous hyper gentils. Je m'allonge sur le dos avec ses beaux mâles autour de moi. Il y a des blancs et des noirs. J’ai une queue qui se présente à ma chatte pendant que mes mains sont occupées à masturber deux autres phallus. Une autre bite me frôle les lèvres, je sors ma langue pour la lécher. La pièce se remplit de voyeur. Je m’aperçois que je me sens bien, même extrêmement bien. Définitivement, je découvre que je suis indubitablement exhibitionniste. Cela m'excite au plus haut point de voir tous ces humains nous regarder. Mon amoureux joue les chefs d'orchestre. C’est à lui que les hommes demandent la permission pour me toucher, me goûter ou me pénétrer. Je constate que les hommes sont respectueux et très propres de leur personne, ce qui est indispensable pour moi. Mon mari les choisit un à un. Il connaît parfaitement mes goûts. De plus, il s'assure que tous mettent un condom. Les gars commencent à me pilonner chacun leur tour, ils s’en donnent tous à cœur joie, moi je gémis fort :

 

— OH ! Oui ! Oui ! Je piaule, encore ! C’est bon ! 

 

 Je veux encore arrêter le temps.

 

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