Extrait de mon livre 

Sexy Lidy Libertine / Ma Double vie




Extrait #4 



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Nous discutons avec les gens autour de nous. L’horloge indique déjà vingt-trois heures. Le temps file beaucoup trop vite. Je quitte mon banc pour aller me rafraîchir avant de monter. Aucun homme n'a attiré mon attention jusqu'à présent, en espérant ne pas les avoir tous aperçus. Nous venons tout juste d'arriver au deuxième étage et mon mari m’informe qu’il aimerait aller à la salle de bains à son tour.

 

— Avoir su j'aurais été en bas, dit-il.

 

Il n’aime pas me laisser seule. Il se rend à la salle de bain du fond. Je suis donc debout dans le coin entre la terrasse et la porte de la salle de bain et j'attends mon homme. Des gars passent devant moi pour aller à la terrasse. Je me sens regardé et dévoré des yeux. J’aperçois M. Costaud se diriger vers moi, un grand noir, cheveux rasés, épaules larges très carrées, une pièce d'homme. À côté de lui, je me sens minuscule. J'adore ce sentiment. Il s'approche de moi pour me saluer. Nous nous sommes déjà vus. Il m'a déjà baisé dans un gang bang lors d'une autre soirée.

 

Pendant un gang bang nous n’avons pas beaucoup de temps pour faire connaissance. Alors nous en profitons pour échanger un peu. Il aurait aimé m'amener dans un endroit tranquille pour que je lui fasse une fellation. Je lui explique que ce n'est pas possible étant donné que mon mari doit être toujours présent. Il insiste. Je lui offre de commencer là, directement à cet endroit. Je m'accroupis, détache sa ceinture, défais son pantalon.

 

— Mmm… Il est bien équipé M. Costaud. Sa queue est grosse et longue et circoncise. Je préfère lorsqu’ils ne le sont pas trop, c’est plus facile à masturber et à sucer, à mon goût à moi évidemment, ''trop, c'est comme pas assez''.

 

Je commence à le sucer doucement en augmentant la cadence. La porte derrière mon dos s'ouvre. J'imagine le spectacle que mon homme à sous les yeux et aussi son étonnement. J’espère de tout cœur qu’il appréciera le spectacle. C'est une belle scène, néanmoins, j'ai enfreint la règle. Je me suis dit :

 

— Il est derrière la porte et il va sortir dans quelques secondes, alors ce n’est pas si grave, nous nous trouvons dans le terrain de jeu.

 

C’est vrai, c’est la réalité, malgré cela j'ai quand même enfreint la règle. Mon mari est quelqu'un de cartésien, d’analytique. Moi, je suis quelqu'un de spontanée et réactive. C’est plus difficile pour moi de tout prévoir à l'avance, j'aime la spontanéité. Ça nous apporte de belles surprises et également j’avoue, quelques fois des problèmes, cependant, je crois que cela en vaut la peine certaines fois.

 

Je me relève. M. costaud me demande si c'est possible de passer un moment avec moi.

 

— Mais oui ! Certainement. J’en suis excité.

 

Il me plait, et j'adore la taille de tout ce qu’il possède. Il me conduit dans un petit cubicule ou il y a trois murs, la pièce mesure quatre pieds sur huit pieds approximativement. Une fenêtre se trouve à droite en entrant et s’est parfait ainsi, mon homme et d'autres pourront nous mater par celle-ci. Je me rends au fond et je m’accroupis le dos au mur. Lui se tient debout devant moi, prêt à se faire dévorer à nouveau. Je suce fort et vite, tantôt plus tranquillement. Après quelque temps, mon homme m'apporte une serviette pour m'agenouiller. Mes pauvres petits genoux me font souffrir et mon mari connaît ma réalité. Il est tellement aimable avec moi. Nous n’avons même pas besoin de nous parler pour nous comprendre. Nous nous connaissons par cœur. Je continue la fellation de M. Costaud, qui, au dire de mon homme, a duré plus de quarante-cinq minutes. Je prends tellement de plaisir à faire une fellation que j’en perds la notion du temps. Il me relève, me tourne contre le mur, je lui présente mes fesses afin qu'il me pénètre. Il y va d'un va-et-vient fort et rigoureux. Nous nous arrêtons, j'ai besoin de changer d'endroit. Nous sortons de ce minuscule endroit pour aller nous installer sur les demi-lits style banquette, agrémenter d'une lumière rouge, juste devant le cubicule dans le couloir menant à mon lit préféré.

 

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